A gauche jusqu'au grand chêne et ...
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A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Mar 27 Juin - 21:35
.... Et bordel c'était quoi déjà après ?
Deux chemins, un vers la droite, l'autre vers la gauche et bien évidement pas une indications, rien, que dalle !
Fais chier, fais chier ... fais CHIER !!!
Regard à droite, regard à gauche, faisant danser doucement le félin confortablement en train de roupiller dans la capuche de la blonde qui cherchait son chemin. Elle l'avait demandé à un passant croisé sur la grande route mais elle n'avait pas vraiment écouter la réponse.
La voilà donc bien dans la *bip*.
Bon ...
Le chemin de gauche semblait monter vers la foret, l'autre descendre vers la vallée et les champs. Rapidement la blonde essayait de se mettre dans la tête de son ainé et marmonna "pour voir l'ennemi arriver il vaut mieux être en hauteur ... les loups ça aime la forêt... une hache ça sert à rien dans les champs ..."
A gauche !
Suivant le chemin la blonde s'enfonça en forêt, appréciant grandement la fraicheur de celle-ci, l'été semblait être pressé d'arrivé cette année, il ne pouvait qu'être plaisant de marcher sous le couvert des arbres. Il ne fallut pas longtemps pour arriver dans une grande clairière à dos de falaise, Théa en siffla en voyant la demeure au loin et plus elle s'approchait et plus elle lui semblait grande.
Restait à savoir si c'est la bonne maison. "Porte rouge" qu'il avait dit ? La demeure semble correspondre à la description.
Théa activa donc la cloche pour faire savoir son arrivée.
Deux chemins, un vers la droite, l'autre vers la gauche et bien évidement pas une indications, rien, que dalle !
Fais chier, fais chier ... fais CHIER !!!
Regard à droite, regard à gauche, faisant danser doucement le félin confortablement en train de roupiller dans la capuche de la blonde qui cherchait son chemin. Elle l'avait demandé à un passant croisé sur la grande route mais elle n'avait pas vraiment écouter la réponse.
La voilà donc bien dans la *bip*.
Bon ...
Le chemin de gauche semblait monter vers la foret, l'autre descendre vers la vallée et les champs. Rapidement la blonde essayait de se mettre dans la tête de son ainé et marmonna "pour voir l'ennemi arriver il vaut mieux être en hauteur ... les loups ça aime la forêt... une hache ça sert à rien dans les champs ..."
A gauche !
Suivant le chemin la blonde s'enfonça en forêt, appréciant grandement la fraicheur de celle-ci, l'été semblait être pressé d'arrivé cette année, il ne pouvait qu'être plaisant de marcher sous le couvert des arbres. Il ne fallut pas longtemps pour arriver dans une grande clairière à dos de falaise, Théa en siffla en voyant la demeure au loin et plus elle s'approchait et plus elle lui semblait grande.
Restait à savoir si c'est la bonne maison. "Porte rouge" qu'il avait dit ? La demeure semble correspondre à la description.
Théa activa donc la cloche pour faire savoir son arrivée.
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Den Norske Mer 28 Juin - 10:26
Une cloche sonne, et sachant que tout le monde était à l'intérieur, il se dirige vers la porte se demandant qui pouvait bien arriver encore. Un vrai défilé, entre la fille, la cousine et maintenant???? Les ébènes se font rieurs, et il incline la tête de côté.
- Je me demandais qui allait bien arriver maintenant, mais la surprise, est totale.
L'ombre, regarde Théa, et leur histoire bien que courte, fut mouvementée. Tout en ouvrant la grille, il lui parle.
- Vous avez bien voyager? Cet endroit n'est pas vargens, beaucoup moins grand vous verrez mais très confortable.
La laissant entrer , puis lui montrant la porte d'entrée.
- Donner moi votre monture, je vais m'en occuper... Ils sont au salon, Juste à droite
Souriant l'ombre, à vrai dire, ça ne le ressemblais pas, bien que faut avouer depuis le retour de la Lyce, les choses revenaient comme ce qui n'aurait jamais du être séparé.
- Bienvenue à vous
- Je me demandais qui allait bien arriver maintenant, mais la surprise, est totale.
L'ombre, regarde Théa, et leur histoire bien que courte, fut mouvementée. Tout en ouvrant la grille, il lui parle.
- Vous avez bien voyager? Cet endroit n'est pas vargens, beaucoup moins grand vous verrez mais très confortable.
La laissant entrer , puis lui montrant la porte d'entrée.
- Donner moi votre monture, je vais m'en occuper... Ils sont au salon, Juste à droite
Souriant l'ombre, à vrai dire, ça ne le ressemblais pas, bien que faut avouer depuis le retour de la Lyce, les choses revenaient comme ce qui n'aurait jamais du être séparé.
- Bienvenue à vous
Den Norske- Messages : 38
Date d'inscription : 25/04/2017
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Mer 28 Juin - 13:45
La blonde patientait devant la grille, son félin toujours à dormir tranquillement dans sa capuche. Visiblement ce bout de matou n’était pas motivé pour se bouger les moustaches ce matin mais après tout qu’importe, comme dirait l’autre, pendant ce temps-là il ne fait pas de bêtises.
Cheveux dansants dans la petite brise du jour Théa profita de l’attente pour détailler la demeure, belle bête, moins grande que celle du Domaine mais tout de même impressionnante dans son genre, tout en pierre qui semblent être à toutes épreuves. “Alors c’est là qu’il vit maintenant l’menhir ?” qu’elle se dit à elle-même.
Difficile de cacher sa surprise de voir l’Ombre venir lui ouvrir. “Le voilà portier maintenant celui-là ?!” qu’elle pensa en l’écoutant l’inviter à entrer.
Bien voyagé oui, pas si mal même s’il fait un rien chaud quant au côté confortable je n’en doute pas mais je ne compte pas m’éterniser.
Théa ne pût réprimer un long frisson le long du dos, voir l’Ombre sourire c’est bien plus effrayant que de le voir découper ou massacrer quelqu’un, comme si les actes n’allaient pas avec la personne mais bon, qu’importe, la blonde entra quand même.
Merci pour l’accueil qu’elle lui dit tout en entrant dans la demeure.
Un rapide coup d’œil à l’entrée puis elle se dirigea vers la droite comme annoncé. Rapidement elle reconnut certaines voix étouffées, celle de sa nièce et celle de Den, une autre voix féminine se faisait entendre aussi, peut-être celle de la nouvelle femme de son Frère. Cette pensée la fit soupirer et faut le dire, lui donna l’envie de fuir, faire demi-tour et s’éviter une nouvelle fois des présentations, de l’attention à donner à une femme qui ne fera pas six mois comme les précédentes, éviter cette impression de déjà vécu qui n’est plus amusante du tout.
Quelques pas de plus pour être juste derrière la porte. La franchir lui permettrait de revoir sa nièce qu’elle n’a pas croisé depuis des lunes et des lunes, elle pose la main sur la poignée, s’apprête à entrer et puis non, à la dernière seconde elle se ravise et fait demi-tour. Officiellement elle pourra toujours dire qu’elle voulait laisser Cindy profiter de son Père, ce qui en soit n’était pas faux.
Elle n’avait ni la force ni l’envie d’entrer dans ce salon finalement alors elle ressortit de la demeure, voulant se laisser un peu de temps Théa se dirigea vers la cour, visitant tranquillement avant de se poser dans un coin ombragé, sous un des grands arbres.
Cheveux dansants dans la petite brise du jour Théa profita de l’attente pour détailler la demeure, belle bête, moins grande que celle du Domaine mais tout de même impressionnante dans son genre, tout en pierre qui semblent être à toutes épreuves. “Alors c’est là qu’il vit maintenant l’menhir ?” qu’elle se dit à elle-même.
Difficile de cacher sa surprise de voir l’Ombre venir lui ouvrir. “Le voilà portier maintenant celui-là ?!” qu’elle pensa en l’écoutant l’inviter à entrer.
Bien voyagé oui, pas si mal même s’il fait un rien chaud quant au côté confortable je n’en doute pas mais je ne compte pas m’éterniser.
Théa ne pût réprimer un long frisson le long du dos, voir l’Ombre sourire c’est bien plus effrayant que de le voir découper ou massacrer quelqu’un, comme si les actes n’allaient pas avec la personne mais bon, qu’importe, la blonde entra quand même.
Merci pour l’accueil qu’elle lui dit tout en entrant dans la demeure.
Un rapide coup d’œil à l’entrée puis elle se dirigea vers la droite comme annoncé. Rapidement elle reconnut certaines voix étouffées, celle de sa nièce et celle de Den, une autre voix féminine se faisait entendre aussi, peut-être celle de la nouvelle femme de son Frère. Cette pensée la fit soupirer et faut le dire, lui donna l’envie de fuir, faire demi-tour et s’éviter une nouvelle fois des présentations, de l’attention à donner à une femme qui ne fera pas six mois comme les précédentes, éviter cette impression de déjà vécu qui n’est plus amusante du tout.
Quelques pas de plus pour être juste derrière la porte. La franchir lui permettrait de revoir sa nièce qu’elle n’a pas croisé depuis des lunes et des lunes, elle pose la main sur la poignée, s’apprête à entrer et puis non, à la dernière seconde elle se ravise et fait demi-tour. Officiellement elle pourra toujours dire qu’elle voulait laisser Cindy profiter de son Père, ce qui en soit n’était pas faux.
Elle n’avait ni la force ni l’envie d’entrer dans ce salon finalement alors elle ressortit de la demeure, voulant se laisser un peu de temps Théa se dirigea vers la cour, visitant tranquillement avant de se poser dans un coin ombragé, sous un des grands arbres.
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Mariette Mer 28 Juin - 16:45
L'coin d'ombre d'Mariette
Mariette avait terminé de déplumer la bonne poularde, l'avait farcie aux pruneaux. Dans l'âtre l'y déposate pour la rôtissade. La costaude remettant sa coiffe en place, elle regarde vers la longue table, de la bonne bouteille de vinasse trônait comme de la statuette sur une fontaine de place publique, l'en va soit format miniature.
L'foi dieu ! Après l'plumage d'là poularde et l'bonne farce d'pruneaux j'peu bien m'faire l'goutte !
Elle allait enfin pouvoir aller se faire un petite sieste derrière la maisonnée, dans son endroit de complicité a ses débandades. Gourmande kidnappa de sur la table de quoi donner plaisir a son gosier sous l'bras.
Tablier parsemé de moultes tâches, toque de travers, et mamelles en avant, ses chausses avait la rapidité d'une lapine désertant son enclos.
La gueuse arrive, dans son coin d'ombre comme elle le nommait, retiré dans l'arrière cour, loin des oyades mal venues pendant ses siestes, ses beuveries seule ou accompagnade d'une bonne paires de braies d'mâle l'bien remplie.
Mais ses chausses prennent un freinage d'urgence, pour un peu de la fumaille s'en serait dégagée.
Lô ! Juste lô devant ses miros, une donzelle une de plus a cette journade, celle la posée sous les arbres, ses arbres complices de la bonne a la goutte fastoche.
Elle regarde. L'une blonde, la bonne femme se demandait si elle ne c'était pas gourée d'endroit l'galliarde, ou s'en viendrasse se trouver de la besogne l'ici. La femme semblait peu commode a la première oyade, l'comme pô ravie a l'voir sa tronche.
La gueuse porta un bras derrière son dos, se frotta de la palme de main sa fesse droite, renifla des narines, et à l'aise comme un haricot flottant dans une soupe.
L'damiselle l'faire l'quoi lô ? Vous l'cherchiez d'la d'besogne, j'm'y trompe l'point dites moué ?
Mariette avait du mal à détourner les miros de la blondasse, et bien entendu encore moins de garde le bec fermé, d'attendre réponse, l'voila s'embarque dans son franc parlé.
Z'avez d'la tronche à l'bien pô l'contente di diou ! L''va l'être l'pire, l'ci lieu l'pô d'bosogne l'pour vous, moué l'faire l'tout l'Mariette, l'Mariette c'est l'moué. L'va il falloir l'partir lô, l'peu l'vous r'filade l'un peu d'miches, d'vinasse l'pour l'route, l'voulez ?
Oui, très, mais très doué en conversation la bonne femme, mais pas si mauvaise. Se permettait l'tout de même de la causade bien rustre sans même connaître de loin ou de près la donzelle. En plus c'était son coin d'ombre, le siens.
Son pif remonté vers le haut, bouteille sous le bras, attend que la donzelle s'enaillade avec ou sans victuailles proposées.
Mariette- Messages : 30
Date d'inscription : 25/04/2017
Localisation : Dans sa cuisine ou une motte de foin !
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Mer 28 Juin - 20:11
Adossée à l’arbre, son félin vautré sur elle tout ronronnant la blonde se serait presque endormie là. Presque. C’était sans compter sur … c’est qui celle-là ?! Grommelant puis ouvrant un œil Théa se retrouve face à une femme de bonne portance, blonde, qui à priori selon ses vêtements ferait partie du personnel. A moins que ce ne soit la fameuse nouvelle femme ?
« Mariette » c’est à peu près tout ce qu’elle a compris des dires de cette femme. Donc non, ce n’est pas elle et à priori elle lui demande d’aller voir ailleurs si l’herbe est aussi confortable. Théa ne bouge pas de suite, si elle n’avait pas les yeux ouverts on aurait pu penser qu’elle est morte mais elle est simplement à envisager les options face à cette gêneuse qui cause le français comme une vache viking qui serait tombée dans une barrique de bière.
Option 1 : l’ignorer. Idée bien vite abandonnée, d’expérience ce genre de bonne femme est du genre à foncer dans le tas, elle ne lâchera pas l’affaire si facilement. Option 2 : la défoncer et lui piquer sa bouteille. Bien plus intéressant, surtout la bouteille mais arriver et fracasser le personnel ça va faire râler Den, on abandonne. Option 3 : négocier. N’ayant pas la moindre envie de se bouger de là pour le moment cela semble être le mieux.
Alors négocions.
Se redressant à peine, continuant de gratouiller son chat de sa main droite pendant que la gauche évite qu’il ne se vautre bêtement elle vient planter son regard dans celui de Mariette, s’adressant à elle d’un ton neutre bien qu’un peu froid et pas que sur les bords.
Je suis Théa, une des sœurs de Den, la meilleure ou la pire, il vous dira que ça dépend des jours et j’ai foutrement rien compris de ce que vous avez dit et j’compte pas bouger mon cul d’là pour le moment.
Voyez, Loki et moi …
Elle indiqua du doigt son chat avant de continuer.
Loki c’est lui … nous avons fait une longue route et l’herbe ici est pas si mal pour rester à trainer un peu donc soit vous posez v‘tre cul et vous faites tourner la bouteille soit je vais devoir me montrer atrocement désagréable et entre nous, j’ai la flemme là.
Utilisant sa main libre pour fouiller dans sa vieille besace la blonde sort une flaque puis regarde à nouveau la perturbeuse de sieste.
On échange ? J’ai du whisky écossait là d’dans, ça remet le cerveau dans l’bon sens.
« Mariette » c’est à peu près tout ce qu’elle a compris des dires de cette femme. Donc non, ce n’est pas elle et à priori elle lui demande d’aller voir ailleurs si l’herbe est aussi confortable. Théa ne bouge pas de suite, si elle n’avait pas les yeux ouverts on aurait pu penser qu’elle est morte mais elle est simplement à envisager les options face à cette gêneuse qui cause le français comme une vache viking qui serait tombée dans une barrique de bière.
Option 1 : l’ignorer. Idée bien vite abandonnée, d’expérience ce genre de bonne femme est du genre à foncer dans le tas, elle ne lâchera pas l’affaire si facilement. Option 2 : la défoncer et lui piquer sa bouteille. Bien plus intéressant, surtout la bouteille mais arriver et fracasser le personnel ça va faire râler Den, on abandonne. Option 3 : négocier. N’ayant pas la moindre envie de se bouger de là pour le moment cela semble être le mieux.
Alors négocions.
Se redressant à peine, continuant de gratouiller son chat de sa main droite pendant que la gauche évite qu’il ne se vautre bêtement elle vient planter son regard dans celui de Mariette, s’adressant à elle d’un ton neutre bien qu’un peu froid et pas que sur les bords.
Je suis Théa, une des sœurs de Den, la meilleure ou la pire, il vous dira que ça dépend des jours et j’ai foutrement rien compris de ce que vous avez dit et j’compte pas bouger mon cul d’là pour le moment.
Voyez, Loki et moi …
Elle indiqua du doigt son chat avant de continuer.
Loki c’est lui … nous avons fait une longue route et l’herbe ici est pas si mal pour rester à trainer un peu donc soit vous posez v‘tre cul et vous faites tourner la bouteille soit je vais devoir me montrer atrocement désagréable et entre nous, j’ai la flemme là.
Utilisant sa main libre pour fouiller dans sa vieille besace la blonde sort une flaque puis regarde à nouveau la perturbeuse de sieste.
On échange ? J’ai du whisky écossait là d’dans, ça remet le cerveau dans l’bon sens.
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Mariette Jeu 29 Juin - 21:19
Mariette la regardasse avec méfiance l'tout de même. Voilà qu'elle lui caussase enfin.
La bonne passe du livide au pourpre et du pourpre au livide en entendant qui elle était. La sœur de son bellâtre. De son divin et merveilleux patronnet. Puis la gueuse baisse les yeux vers la bête a poils, grimace un tantinet. En plus v'là qu'elle veuille de sa vinasse la donzelle, mais Mariette sachant que sa déplairait a son bellâtre si elle osait foutre de la chausse dans la tronchade de la sœur pour quelque peu lui avoir causée pas l'trop bien. C'était pas l'jour de la Mariette avec toute ces arrivailles en la demeure.
La rustre eu même une pensée pour la patronette, la connaissant depuis des lustres, l'imagina déjà accrocher des cordes dans les gros chênes pour pendre un peu près tout le monde, ouais parce que a l'avis de la bonne, la patronette devait pas être au courant de tout se remue ménage arrivant ici lieu. Au départ elle était venue pour être seule, pour se reposer de ce qu'elle avait traversé, vécu il y avait pas si longtemps que ça. Et v'là que ça allait chier des hallebardes.
Remettant d'une main sa toque en place. Regarde la flasque.
Par l'pine d'huitre ! L'vous l'savez l'bien l'caussase l'vous l'dame soeur d'patronet !
Faux cul de Mariette. Alors la bonne s'approche ses paluches relèvent son jupon sans lâcher la bouteille de sous son bras, se laisse échouer comme une baleine sur le bord de mer a coter de l'étrangère, laissant apercevoir un peu de son anatomie bien charnue au passage de sous son jupon .
L'vas-y l'soeur ! L'goutasse l'bien l'ton breuvage moué !
Remue son large fessier se collant a la femme, la bouteille entre ses paluches cette fois, va de ses chicots arracher le bouchon qu'elle crache vers ces chausses, lui tend la vinasse.
Mais l'dites moué l'donc, l'pourquoi z'allez l'point l'voir l'patronet ?
La oyade bien dans la face attendant réponse. Mariette avait quand même un miro qui allait et venait du visage de la blonde a la bête a poils. Des fois que l'animal attaque ses joliasse mamelles.
La bonne passe du livide au pourpre et du pourpre au livide en entendant qui elle était. La sœur de son bellâtre. De son divin et merveilleux patronnet. Puis la gueuse baisse les yeux vers la bête a poils, grimace un tantinet. En plus v'là qu'elle veuille de sa vinasse la donzelle, mais Mariette sachant que sa déplairait a son bellâtre si elle osait foutre de la chausse dans la tronchade de la sœur pour quelque peu lui avoir causée pas l'trop bien. C'était pas l'jour de la Mariette avec toute ces arrivailles en la demeure.
La rustre eu même une pensée pour la patronette, la connaissant depuis des lustres, l'imagina déjà accrocher des cordes dans les gros chênes pour pendre un peu près tout le monde, ouais parce que a l'avis de la bonne, la patronette devait pas être au courant de tout se remue ménage arrivant ici lieu. Au départ elle était venue pour être seule, pour se reposer de ce qu'elle avait traversé, vécu il y avait pas si longtemps que ça. Et v'là que ça allait chier des hallebardes.
Remettant d'une main sa toque en place. Regarde la flasque.
Par l'pine d'huitre ! L'vous l'savez l'bien l'caussase l'vous l'dame soeur d'patronet !
Faux cul de Mariette. Alors la bonne s'approche ses paluches relèvent son jupon sans lâcher la bouteille de sous son bras, se laisse échouer comme une baleine sur le bord de mer a coter de l'étrangère, laissant apercevoir un peu de son anatomie bien charnue au passage de sous son jupon .
L'vas-y l'soeur ! L'goutasse l'bien l'ton breuvage moué !
Remue son large fessier se collant a la femme, la bouteille entre ses paluches cette fois, va de ses chicots arracher le bouchon qu'elle crache vers ces chausses, lui tend la vinasse.
Mais l'dites moué l'donc, l'pourquoi z'allez l'point l'voir l'patronet ?
La oyade bien dans la face attendant réponse. Mariette avait quand même un miro qui allait et venait du visage de la blonde a la bête a poils. Des fois que l'animal attaque ses joliasse mamelles.
Mariette- Messages : 30
Date d'inscription : 25/04/2017
Localisation : Dans sa cuisine ou une motte de foin !
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Ven 30 Juin - 20:44
Théa ne pouvait que sourire de voir le visage de la bonne à tout faire à l’évocation du nom de Den et de son lien de parenté avec lui. Ça marche à tous les coups et c’est toujours aussi marrant pour elle. Enfin, cette fois, la personne en face d’elle s’en remet vite et ne semble pas s’en faire plus que ça, tant mieux. C’est qu’ils sont fatiguant les lèches bottes quand ils s’y mettent. Là il n’en était rien, sa compagne de picole s’installe et tape la causette.
Et quand elle s’installe, elle s’installe ! En temps normal la blonde aurait bondit de cette intrusion dans son espace personnel mais cette fois, non, elle s’en fout. C’est terrible la flemme j’vous jure ! Au lieu de se rebiffer elle troque sa flaque contre la bouteille tout en écoutant, non, en essayant de décoder les paroles de Mariette.
L’patronet ça doit être Den. Il est occupé avec sa fille, je les ai entendus en arrivant. Je sais qu’il ne l’a pas vu depuis longtemps alors je les laisse profiter.
Une gorgée de la bouteille de vin avant d’ajouter.
Et puis rien ne presse, il va pas s’barrer.
Un rire amusé à cette pensée avant qu’elle n’enchaîne plus sérieuse.
Et toi qui fait ta curieuse, tu devrais pas être à bosser ?
Une autre gorgée suivit d’une grimace.
‘Tain qu’il est pas bon ton vin ! T’as pas perdue au change !
Et quand elle s’installe, elle s’installe ! En temps normal la blonde aurait bondit de cette intrusion dans son espace personnel mais cette fois, non, elle s’en fout. C’est terrible la flemme j’vous jure ! Au lieu de se rebiffer elle troque sa flaque contre la bouteille tout en écoutant, non, en essayant de décoder les paroles de Mariette.
L’patronet ça doit être Den. Il est occupé avec sa fille, je les ai entendus en arrivant. Je sais qu’il ne l’a pas vu depuis longtemps alors je les laisse profiter.
Une gorgée de la bouteille de vin avant d’ajouter.
Et puis rien ne presse, il va pas s’barrer.
Un rire amusé à cette pensée avant qu’elle n’enchaîne plus sérieuse.
Et toi qui fait ta curieuse, tu devrais pas être à bosser ?
Une autre gorgée suivit d’une grimace.
‘Tain qu’il est pas bon ton vin ! T’as pas perdue au change !
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Mariette Sam 1 Juil - 18:57
Mariette fait sauter le bout de la fiole d'un pouce, s'en remplie une bonnasse dans le gosier, avale tout droit sans même en avoir les yeux qui pétillent, comme de l'eau.
Tourne sa trogne vers la blonde. Claque sa langue dans son palais.
L'être lui moué ! L'mon l'bellâ... ! J'm'en l'veut dire l'maître d'là maisonnée !
La bonne remonte une main sous sa toque, glisse ses gros doigts dessous en se grattouillant la cervelle.
L'mazette il pô l'point s'barrer l'pov' de lui s'il l'faire çô ! L'ôtre lô, l'patronette s'il l'faire, l'en l'perdra ces l'roubignoles al l'coups d'la hache l'pur sur !
Mariette se signe rapidement avant de reprendre une rasade et de savourer le goutteux.
Moué j'besogne l'bien, l'poularde l'être al rotissade, l'être l'bien l'farcie al l'prunaux pour l'grand bien d'la pence ! L'être l'trop l'occupé l'bas l'dedans, j'm'en l'viendez pour l'roupillade l'ici.
La gueuse montre ses chicots en entendant se plaindre la blonde de sa vinasse.
L'foi dieu ! L'être l'vinasse du Cruchot lô ! Il l'avoir l'faites lui l'même, l'dire l'même qu'il l'y rajoutasse l'bave d'crapeaud ! J'y l'croire pô moué, mais l'Cruchot l'être l'bien l'capable l'être tocade de l'caboche !
Mariette lui tend la flasque, presque vide. Tourne sur sa gauche ses paluches au par terre, se relevant non sans mal la disgracieuse, si bien que son fessier viens se présenter a quelques centimètres de la trogne de la soeur de son bellâtre de patronet.
L'viendez l'donc l'soeur ! L'viendez l'avec moué, zallez l'voir l'vot' frère l'pardis ! L'avoir l'cornes ou il s'boire l'une l'chose al l'nom d'idormel !
Debout comme une tige de roseau Mariette la regarde les paluches sur ses hanches.
Tourne sa trogne vers la blonde. Claque sa langue dans son palais.
L'être lui moué ! L'mon l'bellâ... ! J'm'en l'veut dire l'maître d'là maisonnée !
La bonne remonte une main sous sa toque, glisse ses gros doigts dessous en se grattouillant la cervelle.
L'mazette il pô l'point s'barrer l'pov' de lui s'il l'faire çô ! L'ôtre lô, l'patronette s'il l'faire, l'en l'perdra ces l'roubignoles al l'coups d'la hache l'pur sur !
Mariette se signe rapidement avant de reprendre une rasade et de savourer le goutteux.
Moué j'besogne l'bien, l'poularde l'être al rotissade, l'être l'bien l'farcie al l'prunaux pour l'grand bien d'la pence ! L'être l'trop l'occupé l'bas l'dedans, j'm'en l'viendez pour l'roupillade l'ici.
La gueuse montre ses chicots en entendant se plaindre la blonde de sa vinasse.
L'foi dieu ! L'être l'vinasse du Cruchot lô ! Il l'avoir l'faites lui l'même, l'dire l'même qu'il l'y rajoutasse l'bave d'crapeaud ! J'y l'croire pô moué, mais l'Cruchot l'être l'bien l'capable l'être tocade de l'caboche !
Mariette lui tend la flasque, presque vide. Tourne sur sa gauche ses paluches au par terre, se relevant non sans mal la disgracieuse, si bien que son fessier viens se présenter a quelques centimètres de la trogne de la soeur de son bellâtre de patronet.
L'viendez l'donc l'soeur ! L'viendez l'avec moué, zallez l'voir l'vot' frère l'pardis ! L'avoir l'cornes ou il s'boire l'une l'chose al l'nom d'idormel !
Debout comme une tige de roseau Mariette la regarde les paluches sur ses hanches.
Mariette- Messages : 30
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Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Sam 1 Juil - 21:21
Impassible comme à son arrivée la blonde essaie de suivre la conversation de la bonne et bordel, quelle galère ! Malgré tout elle comprend bien que la nouvelle femme semble avoir un caractère volcanique. Doit-elle se méfier d’elle ? Bien sûr que oui ! Surement un peu plus d’avoir entendu ça. Pendant que Mariette débitait tout un tas de mots et de phrases que Théa écoutait d’une oreille elle était plutôt à penser à tout autre chose.
Son regard était planté sur cette demeure, ses pensées sur ce qui pouvait bien se passer à l’intérieur, loin des regards des visiteurs ou des invités. La façon de parler de la bonne concernant Den en disait long sur un certain attachement, un étrange et fort attachement. Depuis quand le connait-elle ? Depuis quand habite-t-il ici en réalité ?
La présence du cul de la bonne à quelques centimètres de son visage la ramena à la réalité et fit voler en éclat la patience dont elle faisait preuve avec cette personne. Elle s’est pourtant montré gentille, agréable même s’il faut avouer que l’entrain n’y était pas, elle a partagé son alcool et malgré tout cette bonne femme a fait tout son possible pour se montrer irrespectueuse, sans manières voire même carrément dégueulasse. Et voilà que maintenant elle s’imagine que Théa va la suivre juste parce qu’elle lui demande ?!
La blonde inspire longuement, trahissant un mécontentement grandissant puis elle porte son regard sur la bonne, laissant une longue inspiration quitter ses lèvres, presque sifflante entre ses dents. D’accord elle est surement très mal habituée avec la vieille Sophie au domaine dont les manières sont exemplaires mais tout de même ! Mariette a poussé le bouchon trop loin.
Théa finit par se lever, laissant son félin grimper à ses épaules comme à son habitude, s’adressant à lui d’une voix joviale plutôt qu’à la bonne tout en passant ses mains à ses vêtements pour en faire partir une poussière imaginaire.
Tu l’as vu Loki hein on était tranquille, peinard à faire chier personne mais non pas moyen de profiter sans être emmerdés. Et puis t’as vu, j’ai été gentille, j’ai été polie, j’ai été mignonne, j’ai même pas râlé et j’ai même partagé ma picole et tout ça pour quoi ?
Son regard glacial vint se planter sur la Mariette qui avait beau avoir les mains sur les hanches n’impressionnait pas du tout la blonde qui emprunte maintenant qu’elle la regarde un ton de voix bien congelée.
Et j’ai quoi en retour ? Une grosse barrique qui se comporte comme si nous avions élevé les porcs ensemble ?!
Ses paroles la reflétait mal, Théa n’était pas connue pour être une garce avec le personnel ou à les traiter avec condescendance, loin de là mais il ne fallait tout de même pas trop abuser d’autant qu’elle avait fait des efforts.
Qu’est-ce qui te fait croire que je vais te suivre ?
Deux pas de plus vers elle.
Tu te prends pour qui à vouloir décider pour moi ?
Deux pas de plus pour arriver à un rien de son visage, si proche qu’elle peut sentir son halène de whiskey, attisant un peu plus sa colère envers elle.
J’irai voir Den quand j’irai voir Den. Tu ne décides pas pour moi. Ni toi, ni lui, ni personne ne décide à ma place compris !
C’est fou comme la moindre atteinte à sa liberté pouvait la faire vriller, surtout ces derniers temps et d’autant qu’il n’y avait pas dans le fond de quoi s’emporter de la sorte mais non, trop tard, son cerveau à fait « pop » Théa s’emporte en parfaite viking, glaciale à l’extérieur mais volcanique à l’intérieur.
Et Den il ne t’appartient pas, ni à toi ni à ta patronnette là. S’il veut partir il partira et j’peux te jurer que ta patronne finira en toutes petites rondelles si elle ose faire c’que t’as dit et toi aussi j’te découperai, à la hache s’il le faut et j'te balancerai aux cochons jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de toi que tes bordels de dents !
Tu comprends ce que je dis ou j’dois te l’écrire et te foutre le message dans c’cul que tu aimes tant exposer ?!
Son regard était planté sur cette demeure, ses pensées sur ce qui pouvait bien se passer à l’intérieur, loin des regards des visiteurs ou des invités. La façon de parler de la bonne concernant Den en disait long sur un certain attachement, un étrange et fort attachement. Depuis quand le connait-elle ? Depuis quand habite-t-il ici en réalité ?
La présence du cul de la bonne à quelques centimètres de son visage la ramena à la réalité et fit voler en éclat la patience dont elle faisait preuve avec cette personne. Elle s’est pourtant montré gentille, agréable même s’il faut avouer que l’entrain n’y était pas, elle a partagé son alcool et malgré tout cette bonne femme a fait tout son possible pour se montrer irrespectueuse, sans manières voire même carrément dégueulasse. Et voilà que maintenant elle s’imagine que Théa va la suivre juste parce qu’elle lui demande ?!
La blonde inspire longuement, trahissant un mécontentement grandissant puis elle porte son regard sur la bonne, laissant une longue inspiration quitter ses lèvres, presque sifflante entre ses dents. D’accord elle est surement très mal habituée avec la vieille Sophie au domaine dont les manières sont exemplaires mais tout de même ! Mariette a poussé le bouchon trop loin.
Théa finit par se lever, laissant son félin grimper à ses épaules comme à son habitude, s’adressant à lui d’une voix joviale plutôt qu’à la bonne tout en passant ses mains à ses vêtements pour en faire partir une poussière imaginaire.
Tu l’as vu Loki hein on était tranquille, peinard à faire chier personne mais non pas moyen de profiter sans être emmerdés. Et puis t’as vu, j’ai été gentille, j’ai été polie, j’ai été mignonne, j’ai même pas râlé et j’ai même partagé ma picole et tout ça pour quoi ?
Son regard glacial vint se planter sur la Mariette qui avait beau avoir les mains sur les hanches n’impressionnait pas du tout la blonde qui emprunte maintenant qu’elle la regarde un ton de voix bien congelée.
Et j’ai quoi en retour ? Une grosse barrique qui se comporte comme si nous avions élevé les porcs ensemble ?!
Ses paroles la reflétait mal, Théa n’était pas connue pour être une garce avec le personnel ou à les traiter avec condescendance, loin de là mais il ne fallait tout de même pas trop abuser d’autant qu’elle avait fait des efforts.
Qu’est-ce qui te fait croire que je vais te suivre ?
Deux pas de plus vers elle.
Tu te prends pour qui à vouloir décider pour moi ?
Deux pas de plus pour arriver à un rien de son visage, si proche qu’elle peut sentir son halène de whiskey, attisant un peu plus sa colère envers elle.
J’irai voir Den quand j’irai voir Den. Tu ne décides pas pour moi. Ni toi, ni lui, ni personne ne décide à ma place compris !
C’est fou comme la moindre atteinte à sa liberté pouvait la faire vriller, surtout ces derniers temps et d’autant qu’il n’y avait pas dans le fond de quoi s’emporter de la sorte mais non, trop tard, son cerveau à fait « pop » Théa s’emporte en parfaite viking, glaciale à l’extérieur mais volcanique à l’intérieur.
Et Den il ne t’appartient pas, ni à toi ni à ta patronnette là. S’il veut partir il partira et j’peux te jurer que ta patronne finira en toutes petites rondelles si elle ose faire c’que t’as dit et toi aussi j’te découperai, à la hache s’il le faut et j'te balancerai aux cochons jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de toi que tes bordels de dents !
Tu comprends ce que je dis ou j’dois te l’écrire et te foutre le message dans c’cul que tu aimes tant exposer ?!
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Den Norske Dim 2 Juil - 10:23
Il y a des jours comme ça, ou il valait mieux surveiller tout le monde d'un oeil averti. Et il fait bien, l'ombre, à vouloir, surveiller ce qu'il se passe entre mariette et la jeune Ulven. Un sourire, en les voyant, de loin échanger leurs bouteilles, mais tout d'un coup, ça dérape et on ne sait trop pourquoi.
Un soupire, et il s'approche entendant les mots de Thea. Roule des yeux, et se dit qu'il n'y a pas à s'énerver, à voir un gros popotin de trop prêt. Il la savait nerveuse surtout. Il connaissait chaque enfant parce que depuis leur plus tendre jeunesse il avait veillé sur eux, avec son ordre.
Un sourire arrivant derrière les deux femmes de caractères, se disant qu'avec Sam ça risque d'être explosif, si chacune ni mets pas du sien. Et si elles n'apprennent pas à se connaitre... bref, chaque chose en son temps.
- Doucement jeune fille, vous n'avez eut que la vue, encore heureux que vous n'avez pas eut l'odeur, ça vous aurait anesthésier dans la seconde.
Un sourire carnassier et les ébènes se dirige vers la mariette.
- Merci à vous de vous être occupée de la soeur du patron Mariette. je vais prendre le relais d'accord?
En fait il ne laissait pas vraiment le choix ... Peu de personne connaissent mariette, La regardant partir il se tourne vers Thea.
- Ne lui en voulez pas... Mariette est comment dire, une personne brut de pomme. Mais vous pourriez vous y attacher à la longue, en comprenant qu'elle n'est pas méchante pour un sou . Même moi je l'aime bien, à force.. c'est dire.
Il sourit et l'invite à aller plus loin histoire de discuter tranquillement. La regarde tout en marchant.
- De quoi avez vous peur? Votre frère, a eut deux mariages pour essayer de faire son deuil. Il n'a pas réussit, et mes lettres que j'ai envoyé à la femme qui est ici, ça fait des mois, que je les ait envoyé. Il n'a pas cessé de la chercher. Bref... Je vois bien que vous avez peur.
Il sourit et s'arrête maintenant qu'ils sont seulement deux pour discuter sans verrou.
- Votre frère, vous a raconté sa rencontre avec elle?
Un soupire, et il s'approche entendant les mots de Thea. Roule des yeux, et se dit qu'il n'y a pas à s'énerver, à voir un gros popotin de trop prêt. Il la savait nerveuse surtout. Il connaissait chaque enfant parce que depuis leur plus tendre jeunesse il avait veillé sur eux, avec son ordre.
Un sourire arrivant derrière les deux femmes de caractères, se disant qu'avec Sam ça risque d'être explosif, si chacune ni mets pas du sien. Et si elles n'apprennent pas à se connaitre... bref, chaque chose en son temps.
- Doucement jeune fille, vous n'avez eut que la vue, encore heureux que vous n'avez pas eut l'odeur, ça vous aurait anesthésier dans la seconde.
Un sourire carnassier et les ébènes se dirige vers la mariette.
- Merci à vous de vous être occupée de la soeur du patron Mariette. je vais prendre le relais d'accord?
En fait il ne laissait pas vraiment le choix ... Peu de personne connaissent mariette, La regardant partir il se tourne vers Thea.
- Ne lui en voulez pas... Mariette est comment dire, une personne brut de pomme. Mais vous pourriez vous y attacher à la longue, en comprenant qu'elle n'est pas méchante pour un sou . Même moi je l'aime bien, à force.. c'est dire.
Il sourit et l'invite à aller plus loin histoire de discuter tranquillement. La regarde tout en marchant.
- De quoi avez vous peur? Votre frère, a eut deux mariages pour essayer de faire son deuil. Il n'a pas réussit, et mes lettres que j'ai envoyé à la femme qui est ici, ça fait des mois, que je les ait envoyé. Il n'a pas cessé de la chercher. Bref... Je vois bien que vous avez peur.
Il sourit et s'arrête maintenant qu'ils sont seulement deux pour discuter sans verrou.
- Votre frère, vous a raconté sa rencontre avec elle?
Den Norske- Messages : 38
Date d'inscription : 25/04/2017
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Dim 2 Juil - 14:18
- « Doucement jeune fille, vous n'avez eut que la vue, encore heureux que vous n'avez pas eut l'odeur, ça vous aurait anesthésier dans la seconde. »
La blonde reconnait la voix de suite, pas vraiment de défis sur ce coup-là, l’Ombre. Théa coupe le son et l’écoute, grimace de voir la bonne s’en aller, elle n’avait pas terminé avec elle mais qu’importe, ce n’est que partie remise, elle saura bien remettre la main dessus plus tard.
- Ne lui en voulez pas... Mariette est comment dire, une personne brut de pomme. Mais vous pourriez vous y attacher à la longue, en comprenant qu'elle n'est pas méchante pour un sou . Même moi je l'aime bien, à force.. c'est dire.
Un haussement de sourcil réprobateur à l’entendre. Elle se contente de marmonner un rapide « m’en fou, j’en ferai du pâté plus tard de cette grosse dégueulasse, tu ne seras pas toujours là » en le fixant de son regard de glace avant de le suivre pour aller se balader. Après tout pourquoi pas.
- De quoi avez vous peur? Votre frère, a eut deux mariages pour essayer de faire son deuil. Il n'a pas réussit, et mes lettres que j'ai envoyé à la femme qui est ici, ça fait des mois, que je les ait envoyé. Il n'a pas cessé de la chercher. Bref... Je vois bien que vous avez peur.
Théa lève les yeux au ciel t’entendre ça.
Peur ? Mais de quoi ? Dis-moi dont de quoi j’ai peur selon toi.
Quant à savoir comment il l’a rencontré celle-là sache que je m’en contre-fou, ça m’intéresse autant que de savoir si la Reine à bien chié ce matin !
La blonde reconnait la voix de suite, pas vraiment de défis sur ce coup-là, l’Ombre. Théa coupe le son et l’écoute, grimace de voir la bonne s’en aller, elle n’avait pas terminé avec elle mais qu’importe, ce n’est que partie remise, elle saura bien remettre la main dessus plus tard.
- Ne lui en voulez pas... Mariette est comment dire, une personne brut de pomme. Mais vous pourriez vous y attacher à la longue, en comprenant qu'elle n'est pas méchante pour un sou . Même moi je l'aime bien, à force.. c'est dire.
Un haussement de sourcil réprobateur à l’entendre. Elle se contente de marmonner un rapide « m’en fou, j’en ferai du pâté plus tard de cette grosse dégueulasse, tu ne seras pas toujours là » en le fixant de son regard de glace avant de le suivre pour aller se balader. Après tout pourquoi pas.
- De quoi avez vous peur? Votre frère, a eut deux mariages pour essayer de faire son deuil. Il n'a pas réussit, et mes lettres que j'ai envoyé à la femme qui est ici, ça fait des mois, que je les ait envoyé. Il n'a pas cessé de la chercher. Bref... Je vois bien que vous avez peur.
Théa lève les yeux au ciel t’entendre ça.
Peur ? Mais de quoi ? Dis-moi dont de quoi j’ai peur selon toi.
Quant à savoir comment il l’a rencontré celle-là sache que je m’en contre-fou, ça m’intéresse autant que de savoir si la Reine à bien chié ce matin !
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Den Norske Lun 3 Juil - 9:05
Roulant des yeux, il rit doucement. Puis la regarde avec attention, alors qu'il passe une petite clairière ou un ruisseau passe d'un côté et un grand chêne avec une stèle à ses pied. Lui montre le ruisseau et l'invite à s'asseoir e lui tend une bouteille de whisky.
- c'est à votre frère, alors chut hein?
Restant silencieux un moment il regarde l'eau coulé et sourit.
- C'est moi qui l'ai fait se rencontrer on peut dire...
Regarde Thea.
- Den était capitaine d'Anjou et Sam était clair obscur, elle s'est faite attrapé par une des armées à Den, et il m'a chargé de faire appliquer la sentence du juré. Je l'ai torturé et fouetté.
Bref, j'ai faisais ce que j'ai eut à faire voyez vous? Elle fut sauvé par Rose, la chef des clairs obscurs, je l'ai échangé contre un soldat qui s'était pissé dessus. Et que j'ai égorgé dans les bras d'une amie à sam. Elle avait du sang partout.
Mais Sam, a voulu tuer ton père, mais à force de rencontre, ou ton frère ou elle aurait pu mourir cinq fois chacun, , ce qui devait arriver arriva.
Cette femme, a mon respect. Elle sait que je pourrais la tuer sur le moment , voir elle aussi, mais elle a préféré me pardonner pour ce que je lui avais fais.
Regarde Thea et lui prend la bouteille pour boire à son tour et laisse un silence .
- Ces deux la n'auraient jamais du se perdre de vue. Et derrière vous, leur fille qui regarde tout ça, avec le caractère de ses deux parents, pourraient confirmer ce que je dis.
Odelbar, est né de cette union, et vous savez ce que cela veut dire non?
Un sourire et incline la tête.
- La seule chose dont vous avez peur, c'est de l'inconnu, et elle est une inconnue pour vous. Vous n'aimez pas l'inconnu et ça depuis votre tendre jeunesse. Même si vous vous accommodé à force vous avez toujours ce temps de méfiance et de doute sur ce qui est nouveau pour vous et , je rajouterais, c'est que vous avez peur qu'elle se mette entre vous et votre frère, un frère que vous chérissez plus que tout.
Regarde au ciel un instant
- Vous vous êtes tellement perdu vous deux également.
- c'est à votre frère, alors chut hein?
Restant silencieux un moment il regarde l'eau coulé et sourit.
- C'est moi qui l'ai fait se rencontrer on peut dire...
Regarde Thea.
- Den était capitaine d'Anjou et Sam était clair obscur, elle s'est faite attrapé par une des armées à Den, et il m'a chargé de faire appliquer la sentence du juré. Je l'ai torturé et fouetté.
Bref, j'ai faisais ce que j'ai eut à faire voyez vous? Elle fut sauvé par Rose, la chef des clairs obscurs, je l'ai échangé contre un soldat qui s'était pissé dessus. Et que j'ai égorgé dans les bras d'une amie à sam. Elle avait du sang partout.
Mais Sam, a voulu tuer ton père, mais à force de rencontre, ou ton frère ou elle aurait pu mourir cinq fois chacun, , ce qui devait arriver arriva.
Cette femme, a mon respect. Elle sait que je pourrais la tuer sur le moment , voir elle aussi, mais elle a préféré me pardonner pour ce que je lui avais fais.
Regarde Thea et lui prend la bouteille pour boire à son tour et laisse un silence .
- Ces deux la n'auraient jamais du se perdre de vue. Et derrière vous, leur fille qui regarde tout ça, avec le caractère de ses deux parents, pourraient confirmer ce que je dis.
Odelbar, est né de cette union, et vous savez ce que cela veut dire non?
Un sourire et incline la tête.
- La seule chose dont vous avez peur, c'est de l'inconnu, et elle est une inconnue pour vous. Vous n'aimez pas l'inconnu et ça depuis votre tendre jeunesse. Même si vous vous accommodé à force vous avez toujours ce temps de méfiance et de doute sur ce qui est nouveau pour vous et , je rajouterais, c'est que vous avez peur qu'elle se mette entre vous et votre frère, un frère que vous chérissez plus que tout.
Regarde au ciel un instant
- Vous vous êtes tellement perdu vous deux également.
Den Norske- Messages : 38
Date d'inscription : 25/04/2017
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Lun 3 Juil - 13:20
Un rapide sourire à l’évocation de l’alcool appartenant à son ainé, tant qu’il ne s’agit pas d’armagnac la blonde picole. Après est-ce une bonne idée de la faire boire vu son état d’agacement ? Non, vraiment pas mais puisqu’il la connait si bien il assumera.
Assise non loin de lui elle profite du moment de silence qu’il impose avant de se remettre à parler. Sans un mot Théa l’écoute, et plus elle écoute, plus sa rage grandit en elle. Est-ce qu’il est vraiment en train de lui raconter la rencontre de Den et de Sam ? Est-ce que lui aussi serait en train de s’amuser à décider pour elle ? On dirait bien que oui ! Pourtant elle pense avoir été suffisamment claire dans ses propos et pourtant … il s’en fout !
Quand il lui reprend la bouteille il remarquera peut-être sa fureur dessinée à ses yeux, ses veines gonflantes de colère et ses poings serrés, presque à s’enfoncer les ongles dans la paume. Plus encore quand elle entend la suite. Peur de l’inconnu ? Mais d’où sort cette diablerie ?!
Alors qu’il est a regardé le ciel, concluant son analyse par une de ces phrases philosophiques à deux sous Théa lutte pour ne pas sortir une de ses dagues et lui planter dans le cou pour le faire taire. Subjuguée par tant de bêtises dites à la minute elle ne sait même plus par quel bout attraper l’histoire pour lui répondre. Elle ouvre plusieurs fois la bouche, se ravisant deux ou trois fois avant de parler pour de bon.
Mais … comment … mais enfin …. n’ai-je pas été claire quand je t’ai dit que je me fous de comment ils se sont rencontrés ? Quel mot n’est pas passé ? Comment peux-tu ne pas comprendre ?!
Outrée comme rarement la blonde ne comprend pas ce mépris flagrant.
Den me l’a déjà raconté cette rencontre, surement qu’il pensait que ça ferait mieux passer la pilule alors pas la peine de me refaire l’histoire. JE M’EN FOUS !
Elle articula particulièrement les derniers mots, espérant que cette fois elle serait comprise.
Et … et … non mais sans rire … moi peur de l’inconnu ?! Comment tu peux me dire ça alors que je passe ma vie sur les chemins, allant de ville en ville dans savoir sur quoi ou qui je vais tomber à l’arrivée. Comment … mais comment peux-tu me dire que j’ai peur de l’inconnu, moi !
Et BORDEL il n’y a rien de nouveau dans cette histoire !!
Cette fois elle se lève, autant pour pouvoir faire quelques pas que pour s’éloigner de lui avant de lui en coller une. Quelques allers-retours en marmonnant avant qu’elle ne revienne lui faire face.
Arrêtez tous de croire que le problème c’est cette nouvelle femme, cette Samjsaisplusquoi. Ce serait elle ou une Agathe ou une Clothilde voir même une Mariecouchetoilà le problème serait le même.
Comment peux-tu ne pas voir ça ?
Es-tu devenu si mauvais depuis que tu te comportes en pti chien messager ?
Sa question était certes mal posée mais dans le fond elle le pensait vraiment, l’Ombre n’est plus ce qu’il était. Déjà parce qu’elle a bien entendu qu’il aurait pu régler le problème il y a des années par un coup de dague bien placée mais aussi parce que maintenant le voilà jouant les entremetteurs entre Den et elle. Tout fout l’camp je vous le dis.
Essaie de bien m’écouter cette fois.
Non je n’ai pas peur de l’inconnu.
Non je ne crains pas que cette nouvelle paire de jambes ouvertes ne se mette entre Den et moi parce que dans 6 mois elle aura dégagé et que l'on passera à la suivante.
Non, non et NON !!
Ce qui me rend si colérique c’est de comprendre qu’une fois de plus Den a MENTI !! Une fois de plus il fait passer ses histoires de cul avant sa famille, avant ses promesses, avant son SANG !
Des mois que je me demande pourquoi il ne rentre pas, pourquoi il abandonne le domaine, dis-moi la dernière fois qu’il y a vraiment fait quelque chose avec la famille ? Vas-y dis-moi ! Non ? Rien ? Facile pourtant c’était aux fêtes de Yules, il y a plus de 6 mois maintenant, 6 mois !!! Ça fait des lunes de Fyne est revenue dans la famille, il a fait quoi pour elle ? Il n’a même pas trouvé un moment à partager avec elle ne serait-ce que pour l’accueillir au domaine. Et Sunie, les Dieux savent que je ne la porte pas dans mon cœur, loin de là, mais elle fait partie de la famille aussi. Qu’en fait-il ? Rien non plus.
Un court moment pour le regarder dans les yeux et reprendre son souffle.
Den je l’ai perdu depuis longtemps, à chaque nouvelle femme qu’il épouse. Sa priorité n’est pas sa famille comme il se plait à le dire mais son couple, quel que soit la femme au final, tant qu’il a un trou pour mettre sa queue et faire des gosses le reste peut bien crever.
Vulgaire ? A peine mais là trop c’est trop, surtout venant de l’Ombre, elle ne comprenait pas comment il osait se permettre de la juger si mal.
Regarde-moi dans les yeux et ose me dire que j’ai tort ?
Les priorités de Den ne sont pas celles qu’il dit, dont il aime se vanter, non. En premier il y a la gloire de son nom, en second avoir une femme, une pas trop moche et ensuite, éventuellement la famille.
Quand il n’a pas une guerre sur le feu ou une grognasse à retourner là oui il s’ennuie et se rabat sur la famille.
Ose me dire que j’ai tort, toi qui sais tout et qui voit tout, tu ne vois pas ça ?!
Assise non loin de lui elle profite du moment de silence qu’il impose avant de se remettre à parler. Sans un mot Théa l’écoute, et plus elle écoute, plus sa rage grandit en elle. Est-ce qu’il est vraiment en train de lui raconter la rencontre de Den et de Sam ? Est-ce que lui aussi serait en train de s’amuser à décider pour elle ? On dirait bien que oui ! Pourtant elle pense avoir été suffisamment claire dans ses propos et pourtant … il s’en fout !
Quand il lui reprend la bouteille il remarquera peut-être sa fureur dessinée à ses yeux, ses veines gonflantes de colère et ses poings serrés, presque à s’enfoncer les ongles dans la paume. Plus encore quand elle entend la suite. Peur de l’inconnu ? Mais d’où sort cette diablerie ?!
Alors qu’il est a regardé le ciel, concluant son analyse par une de ces phrases philosophiques à deux sous Théa lutte pour ne pas sortir une de ses dagues et lui planter dans le cou pour le faire taire. Subjuguée par tant de bêtises dites à la minute elle ne sait même plus par quel bout attraper l’histoire pour lui répondre. Elle ouvre plusieurs fois la bouche, se ravisant deux ou trois fois avant de parler pour de bon.
Mais … comment … mais enfin …. n’ai-je pas été claire quand je t’ai dit que je me fous de comment ils se sont rencontrés ? Quel mot n’est pas passé ? Comment peux-tu ne pas comprendre ?!
Outrée comme rarement la blonde ne comprend pas ce mépris flagrant.
Den me l’a déjà raconté cette rencontre, surement qu’il pensait que ça ferait mieux passer la pilule alors pas la peine de me refaire l’histoire. JE M’EN FOUS !
Elle articula particulièrement les derniers mots, espérant que cette fois elle serait comprise.
Et … et … non mais sans rire … moi peur de l’inconnu ?! Comment tu peux me dire ça alors que je passe ma vie sur les chemins, allant de ville en ville dans savoir sur quoi ou qui je vais tomber à l’arrivée. Comment … mais comment peux-tu me dire que j’ai peur de l’inconnu, moi !
Et BORDEL il n’y a rien de nouveau dans cette histoire !!
Cette fois elle se lève, autant pour pouvoir faire quelques pas que pour s’éloigner de lui avant de lui en coller une. Quelques allers-retours en marmonnant avant qu’elle ne revienne lui faire face.
Arrêtez tous de croire que le problème c’est cette nouvelle femme, cette Samjsaisplusquoi. Ce serait elle ou une Agathe ou une Clothilde voir même une Mariecouchetoilà le problème serait le même.
Comment peux-tu ne pas voir ça ?
Es-tu devenu si mauvais depuis que tu te comportes en pti chien messager ?
Sa question était certes mal posée mais dans le fond elle le pensait vraiment, l’Ombre n’est plus ce qu’il était. Déjà parce qu’elle a bien entendu qu’il aurait pu régler le problème il y a des années par un coup de dague bien placée mais aussi parce que maintenant le voilà jouant les entremetteurs entre Den et elle. Tout fout l’camp je vous le dis.
Essaie de bien m’écouter cette fois.
Non je n’ai pas peur de l’inconnu.
Non je ne crains pas que cette nouvelle paire de jambes ouvertes ne se mette entre Den et moi parce que dans 6 mois elle aura dégagé et que l'on passera à la suivante.
Non, non et NON !!
Ce qui me rend si colérique c’est de comprendre qu’une fois de plus Den a MENTI !! Une fois de plus il fait passer ses histoires de cul avant sa famille, avant ses promesses, avant son SANG !
Des mois que je me demande pourquoi il ne rentre pas, pourquoi il abandonne le domaine, dis-moi la dernière fois qu’il y a vraiment fait quelque chose avec la famille ? Vas-y dis-moi ! Non ? Rien ? Facile pourtant c’était aux fêtes de Yules, il y a plus de 6 mois maintenant, 6 mois !!! Ça fait des lunes de Fyne est revenue dans la famille, il a fait quoi pour elle ? Il n’a même pas trouvé un moment à partager avec elle ne serait-ce que pour l’accueillir au domaine. Et Sunie, les Dieux savent que je ne la porte pas dans mon cœur, loin de là, mais elle fait partie de la famille aussi. Qu’en fait-il ? Rien non plus.
Un court moment pour le regarder dans les yeux et reprendre son souffle.
Den je l’ai perdu depuis longtemps, à chaque nouvelle femme qu’il épouse. Sa priorité n’est pas sa famille comme il se plait à le dire mais son couple, quel que soit la femme au final, tant qu’il a un trou pour mettre sa queue et faire des gosses le reste peut bien crever.
Vulgaire ? A peine mais là trop c’est trop, surtout venant de l’Ombre, elle ne comprenait pas comment il osait se permettre de la juger si mal.
Regarde-moi dans les yeux et ose me dire que j’ai tort ?
Les priorités de Den ne sont pas celles qu’il dit, dont il aime se vanter, non. En premier il y a la gloire de son nom, en second avoir une femme, une pas trop moche et ensuite, éventuellement la famille.
Quand il n’a pas une guerre sur le feu ou une grognasse à retourner là oui il s’ennuie et se rabat sur la famille.
Ose me dire que j’ai tort, toi qui sais tout et qui voit tout, tu ne vois pas ça ?!
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Den Norske Lun 3 Juil - 19:54
L'ombre ne bouge pas regardant Thea de ses ébènes laissaient voir une lueur, rouge sur les pupille. Toutefois avec son flegme, légendaire il incline la tête doucement et attend qu'elle finisse, pour prendre la parole.
- Tu te trompe, jeune fille...
Un sourire en coin se dessinant également.
- Ton frère en a prit plein la poire dernièrement et tu crois qu'il voulait partager ça avec vous? Franchement il n'a reçu aucune nouvelle, de vous trois en six mois je me trompe?
En quoi il t'a menti, alors qu'il a quitté l'armée depuis un moment et qu'il prépare seulement son déménagement , alors qu'il aurait besoin de votre soutien, alors qu'il rend ses titres et toutes sa gloire, dis moi? Lui as tu seulement demander comment ça se passait pour lui? Alors qu'on lui crache à la gueule, juste par haine? Ou voir même par mépris.
Il n'a jamais eut autant besoin de vous que maintenant et il ne vous dit rien. Il a retrouvé Sam, et je te prierais, de la respecter, car tu ne la connais pas, mais de plus...
Lui prenant la bouteille doucement et boit à son tour...
- C'est la seule personne qui a été présente pour lui dernièrement. Tu manque horriblement de respect pour ton frère. Tu as donc le choix. partir et rester ignare, rester et voir en mettant tes à priori aux latrines.
Hausse les épaules doucement et se relève.
- Tu as de la chance jeune fille.. d'être sa soeur... Tu serais déjà morte pour avoir ainsi insulter ton propre sang.
Repose la bouteille à côté d'elle.
- Tu as le choix, mais fais le bon choix, pour une fois.
Commence à partir
- Tu fais fausse route jeune fille, vraiment.
- Tu te trompe, jeune fille...
Un sourire en coin se dessinant également.
- Ton frère en a prit plein la poire dernièrement et tu crois qu'il voulait partager ça avec vous? Franchement il n'a reçu aucune nouvelle, de vous trois en six mois je me trompe?
En quoi il t'a menti, alors qu'il a quitté l'armée depuis un moment et qu'il prépare seulement son déménagement , alors qu'il aurait besoin de votre soutien, alors qu'il rend ses titres et toutes sa gloire, dis moi? Lui as tu seulement demander comment ça se passait pour lui? Alors qu'on lui crache à la gueule, juste par haine? Ou voir même par mépris.
Il n'a jamais eut autant besoin de vous que maintenant et il ne vous dit rien. Il a retrouvé Sam, et je te prierais, de la respecter, car tu ne la connais pas, mais de plus...
Lui prenant la bouteille doucement et boit à son tour...
- C'est la seule personne qui a été présente pour lui dernièrement. Tu manque horriblement de respect pour ton frère. Tu as donc le choix. partir et rester ignare, rester et voir en mettant tes à priori aux latrines.
Hausse les épaules doucement et se relève.
- Tu as de la chance jeune fille.. d'être sa soeur... Tu serais déjà morte pour avoir ainsi insulter ton propre sang.
Repose la bouteille à côté d'elle.
- Tu as le choix, mais fais le bon choix, pour une fois.
Commence à partir
- Tu fais fausse route jeune fille, vraiment.
Den Norske- Messages : 38
Date d'inscription : 25/04/2017
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Lun 3 Juil - 21:16
Théa ne peut s’empêcher de le couper lorsqu’il parle des courriers parce que oui en ce qui la concerne il se trompe.
Ca j’veux même pas en entendre parler !
Puis elle écoute la suite.
Elle aurait bien répondu aux sujets des titres ou du respect qu’elle doit avoir pour la nouvelle sur le trône, plus encore en lui demandant à quoi ça sert d’avoir une famille si tu ne te tournes pas vers elle quand tu en as besoin, surement quelques mots aussi sur sa chance de ne pas être morte de sa main mais elle ne peut rien faire de tout ça.
D’une part parce qu’il est en train de partir mais aussi pour avoir entendu par deux fois ce qu’elle craignait : sa famille ne lui sert à rien. Voilà pourquoi il ne s'en occupe pas. Il n'en a pas besoin, ni pour les beaux jours pour simplement profiter de la vie et de la joie d'être ensemble mais pire encore ni quand il est au plus mal et que tout s’effondre autours de lui. Tous lui sont totalement inutiles quoiqu'il arrive...
Tous ...
Elle aussi...
Forcément.
Avec ce qu’il venait de lui dire c’était clair et bien qu’il ait des défauts l’Ombre ne mentirait pas. D’un coup plus de colère, les choses sont dites, la pièce manquante est trouvée, éclairant le tableau comme un paysage baigné de soleil après un lourd et noir orage.
Avant qu’il ne soit complètement de dos elle se contente d’une rapide phrase.
En tout cas merci, tu as clairement confirmé par deux fois, ce que je crains bien plus que l’inconnu.
Elle lui sourit, un franc sourire, il venait de lui enlever un poids énorme des épaules. Ceci dit, elle le salue d’un geste de la main et tourne les talons à son tour. Elle pense dans un premier temps à retourner dans la cours mais ce serait prendre le risque de faire du pâté de Mariette, elle hésite même à directement aller dans le salon pour faire la connaissance de la septième merveille du monde mais finalement elle préfère profiter un peu de la rivière.
Théa laisse Loki descendre de ses épaules puis retire ses bottes pour laisser ses pieds profiter de la fraicheur de l’eau, marchant tranquillement de longs aller-retour, réfléchissant aux changements qu’engendrera cette révélation pour son avenir parce que oui, ça allait changer beaucoup de choses. Forcément.
Note HRP : je laisse trainer Théa ici pour pas couper l’histoire au salon, finissez tranquille on verra avec la chieuse après ^^
Ca j’veux même pas en entendre parler !
Puis elle écoute la suite.
Elle aurait bien répondu aux sujets des titres ou du respect qu’elle doit avoir pour la nouvelle sur le trône, plus encore en lui demandant à quoi ça sert d’avoir une famille si tu ne te tournes pas vers elle quand tu en as besoin, surement quelques mots aussi sur sa chance de ne pas être morte de sa main mais elle ne peut rien faire de tout ça.
D’une part parce qu’il est en train de partir mais aussi pour avoir entendu par deux fois ce qu’elle craignait : sa famille ne lui sert à rien. Voilà pourquoi il ne s'en occupe pas. Il n'en a pas besoin, ni pour les beaux jours pour simplement profiter de la vie et de la joie d'être ensemble mais pire encore ni quand il est au plus mal et que tout s’effondre autours de lui. Tous lui sont totalement inutiles quoiqu'il arrive...
Tous ...
Elle aussi...
Forcément.
Avec ce qu’il venait de lui dire c’était clair et bien qu’il ait des défauts l’Ombre ne mentirait pas. D’un coup plus de colère, les choses sont dites, la pièce manquante est trouvée, éclairant le tableau comme un paysage baigné de soleil après un lourd et noir orage.
Avant qu’il ne soit complètement de dos elle se contente d’une rapide phrase.
En tout cas merci, tu as clairement confirmé par deux fois, ce que je crains bien plus que l’inconnu.
Elle lui sourit, un franc sourire, il venait de lui enlever un poids énorme des épaules. Ceci dit, elle le salue d’un geste de la main et tourne les talons à son tour. Elle pense dans un premier temps à retourner dans la cours mais ce serait prendre le risque de faire du pâté de Mariette, elle hésite même à directement aller dans le salon pour faire la connaissance de la septième merveille du monde mais finalement elle préfère profiter un peu de la rivière.
Théa laisse Loki descendre de ses épaules puis retire ses bottes pour laisser ses pieds profiter de la fraicheur de l’eau, marchant tranquillement de longs aller-retour, réfléchissant aux changements qu’engendrera cette révélation pour son avenir parce que oui, ça allait changer beaucoup de choses. Forcément.
Note HRP : je laisse trainer Théa ici pour pas couper l’histoire au salon, finissez tranquille on verra avec la chieuse après ^^
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
Re: A gauche jusqu'au grand chêne et ...
par Théa_Ulven Dim 23 Juil - 11:49
Quelques heures plus tard – Presque la visite la plus rapide de sa vie.
D’habitude elle reste pour la bouffe mais là, il était temps de partir sauf qu’il lui reste une chose à faire : récupérer son félin. Pas question de s’en aller sans lui alors la blonde l’appel comme à son habitude, devant la demeure elle fait claquer sa langue avant de se mettre à parler.
Loki ! …. Loki on y va ….
Elle attend un peu tout en repensant à cette journée, ce bout de journée plutôt. Contente d’avoir revu sa nièce elle ne peut s’empêcher de sourire. Toujours aussi pétillante cette jeune femme, un vrai bonheur de la croiser même si elle aurait aimé en profiter plus longtemps. Théa tâchera de mettre en pratique ses conseils pour avoir une bonne humeur comme la sienne. D’ailleurs elle applique à ce moment l’un d’eux : rester loin des toxiques. Un rire amusé quitte ses lèvres avant qu’elle n’appelle à nouveau son matou.
Loki …. Minou, minou, minou … amène-toi et je te donnerai de l’anchois…
Un regard à gauche, un regard à droite puis ses pensées filent vers son neveu, « le gamin » comme elle aime à l’appeler. Bientôt elle devra changer de surnom le concernant car d’ici peu, s’il continue de grandir ainsi, le gamin pourra lui bouffer la soupe sur la tête. Quelle idée de grandir autant ! Enfin, rien de bien surprenant, les hommes de la famille sont bâtis dans des menhirs et visiblement Bjorn est bien partit pour en devenir un bien costaud.
Ahhhh te voilà enfin ! Aller en route !
Une caresse derrière l’oreille, Théa laisse son visage passer dans les poils de son chat puis elle le laisse s’installer à ses épaules, vieille habitude bien pratique pour se déplacer plus rapidement. Un dernier regard, elle ne peut dire au revoir à son ainé, tant pis, elle lui écrira plus tard. La blonde a pût voir que son frère se porte bien, la santé est là, il est heureux, c’est le principal. Pour le reste elle préfère le laisser profiter tranquillement de ses enfants, ce n’est pas si souvent qu’il en a l’occasion, son tour viendra une autre fois, dans d’autres circonstances.
Un dernier sourire puis la blonde s’en va, prend la route du retour tout en parlant à son chat.
Aller en route Loki, on va aller se chercher à manger, j’ai une de ces faims, jte raconte pas ! Anchois pour toi et pour moi … voyons … boulettes de viandes … ou un de ces ptis pains qui sentaient trop bons ce matin quand on est passé devant …ou les deux … t’en penses quoi toi ? ….
D’habitude elle reste pour la bouffe mais là, il était temps de partir sauf qu’il lui reste une chose à faire : récupérer son félin. Pas question de s’en aller sans lui alors la blonde l’appel comme à son habitude, devant la demeure elle fait claquer sa langue avant de se mettre à parler.
Loki ! …. Loki on y va ….
Elle attend un peu tout en repensant à cette journée, ce bout de journée plutôt. Contente d’avoir revu sa nièce elle ne peut s’empêcher de sourire. Toujours aussi pétillante cette jeune femme, un vrai bonheur de la croiser même si elle aurait aimé en profiter plus longtemps. Théa tâchera de mettre en pratique ses conseils pour avoir une bonne humeur comme la sienne. D’ailleurs elle applique à ce moment l’un d’eux : rester loin des toxiques. Un rire amusé quitte ses lèvres avant qu’elle n’appelle à nouveau son matou.
Loki …. Minou, minou, minou … amène-toi et je te donnerai de l’anchois…
Un regard à gauche, un regard à droite puis ses pensées filent vers son neveu, « le gamin » comme elle aime à l’appeler. Bientôt elle devra changer de surnom le concernant car d’ici peu, s’il continue de grandir ainsi, le gamin pourra lui bouffer la soupe sur la tête. Quelle idée de grandir autant ! Enfin, rien de bien surprenant, les hommes de la famille sont bâtis dans des menhirs et visiblement Bjorn est bien partit pour en devenir un bien costaud.
Ahhhh te voilà enfin ! Aller en route !
Une caresse derrière l’oreille, Théa laisse son visage passer dans les poils de son chat puis elle le laisse s’installer à ses épaules, vieille habitude bien pratique pour se déplacer plus rapidement. Un dernier regard, elle ne peut dire au revoir à son ainé, tant pis, elle lui écrira plus tard. La blonde a pût voir que son frère se porte bien, la santé est là, il est heureux, c’est le principal. Pour le reste elle préfère le laisser profiter tranquillement de ses enfants, ce n’est pas si souvent qu’il en a l’occasion, son tour viendra une autre fois, dans d’autres circonstances.
Un dernier sourire puis la blonde s’en va, prend la route du retour tout en parlant à son chat.
Aller en route Loki, on va aller se chercher à manger, j’ai une de ces faims, jte raconte pas ! Anchois pour toi et pour moi … voyons … boulettes de viandes … ou un de ces ptis pains qui sentaient trop bons ce matin quand on est passé devant …ou les deux … t’en penses quoi toi ? ….
Théa_Ulven- Messages : 20
Date d'inscription : 27/06/2023
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