Le Papet, Biquette et Rollo
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Le Papet, Biquette et Rollo
par Le Papet Cruchot Mar 4 Juil - 11:03
C’est une belle journée d'été, la cruche de la Mariette m'a défié à si j'osssase ou pas de me pointer à la grande maison, moi le Papet Cruchot on me défie pas, elle à fait sa maline à me dire qu'elle avait été demandée la première par ma Dame pour y la rejoindre la gourdasse, alors je me viendre après avoir reçu moi aussi une belle lettre de la tempête, ça elle le savoir pas la Mariette, de toute façon j'ai pas peur, ni de la Mariette ni de l'autre tête de poiscaille, bras droit du maître, parce que dame Samsara, ma tempête sera d'avis de prendre ma défense comme bien des fois, de plus je lui ramène a sa demande Rollo, son chien loup, la divine de mes yeux va être l'heureuse a plus finir.
Alors me voici, je porte mes plus belles braies, sans trous, ma belle chemise non ternie par le temps, mon béret à calvitie, mon porte bonheur pour les damiselles, elles aiment tant me caresser le crâne les finaudes. Je suis vieux mais vigoureux par les saintes moules.
Biquette mon ânesse, tranquillement tire notre carriole, Rollo debout sur ces pattes dessus, je dandine des épaules comme un chevalier, je suis grandement pressé d'arriver pour que la gueuse, la Mariette n'en revienne pas de mon audace du pointage de mon pif.
J'va lui faire voir mortes couilles à la gueuse si le Papet j'ose me ramener ou le pas.
L'autre, la Mariette elle va jalouser comme jamais que je me dire. Je souris comme un niais car je pense déjà a sa tête de morue étonnée.
J'approche, j'approche et j'y suis enfin, devant le grand portail ferreux.
Ma caboche imagine la hâte d'une bonne ripaille, que l'odeur vienne chatouiller mes narines, je m’en lèche les babines d'avance.
Je descends, passe devant ma Biquette, je lui tapote sa carrure bien maigrelette tout comme moi le Papet. A ce moment tu découvres avec tes noisettes la maisonnée, rien n'a changé, je m'avances vers la cloche. J'espère que la gueuse de Mariette ne serra pas elle a m'ouvrir, à me mettre en étalage ses gros pis de vache laitière.
A part Rollo, je lui ramène aussi de la bonne nouvelle aux propos de son gamin a ma tempête, je l'avoir mis en lieu sûr, ou il l'être heureux. Comme elle me l'a demandé par sa missive.
Devant le portail.
Par les saintes moules, il me faut me redresser droit et sourire. Me tenir comme le gentilhomme que je suis. Au cas ou s'il viendre a être ma tempête qui m'acceuillasse, elle verra que son Papet l'être toujours aussi l'beau portant.
Alors me voici, je porte mes plus belles braies, sans trous, ma belle chemise non ternie par le temps, mon béret à calvitie, mon porte bonheur pour les damiselles, elles aiment tant me caresser le crâne les finaudes. Je suis vieux mais vigoureux par les saintes moules.
Biquette mon ânesse, tranquillement tire notre carriole, Rollo debout sur ces pattes dessus, je dandine des épaules comme un chevalier, je suis grandement pressé d'arriver pour que la gueuse, la Mariette n'en revienne pas de mon audace du pointage de mon pif.
J'va lui faire voir mortes couilles à la gueuse si le Papet j'ose me ramener ou le pas.
L'autre, la Mariette elle va jalouser comme jamais que je me dire. Je souris comme un niais car je pense déjà a sa tête de morue étonnée.
J'approche, j'approche et j'y suis enfin, devant le grand portail ferreux.
Ma caboche imagine la hâte d'une bonne ripaille, que l'odeur vienne chatouiller mes narines, je m’en lèche les babines d'avance.
Je descends, passe devant ma Biquette, je lui tapote sa carrure bien maigrelette tout comme moi le Papet. A ce moment tu découvres avec tes noisettes la maisonnée, rien n'a changé, je m'avances vers la cloche. J'espère que la gueuse de Mariette ne serra pas elle a m'ouvrir, à me mettre en étalage ses gros pis de vache laitière.
A part Rollo, je lui ramène aussi de la bonne nouvelle aux propos de son gamin a ma tempête, je l'avoir mis en lieu sûr, ou il l'être heureux. Comme elle me l'a demandé par sa missive.
Devant le portail.
Par les saintes moules, il me faut me redresser droit et sourire. Me tenir comme le gentilhomme que je suis. Au cas ou s'il viendre a être ma tempête qui m'acceuillasse, elle verra que son Papet l'être toujours aussi l'beau portant.
Le Papet Cruchot- Messages : 12
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Localisation : Au près de sa Biquette
Re: Le Papet, Biquette et Rollo
par Den Norske Ven 7 Juil - 10:52
Retour de la discussion avec Thea, l'ombre décidait de passer en dehors du domaine et revenait sur le chemin principal. Les ébènes plissent alors qu'il voit une tête connu et qu'il aurait préféré oublier.
Il s'avance doucement et derrière lui comme une ombre , il sourit à la carnasse et laisse juste sortir un son avec une voix roque.
- BOUHH!!!!
Il s'avance doucement et derrière lui comme une ombre , il sourit à la carnasse et laisse juste sortir un son avec une voix roque.
- BOUHH!!!!
Den Norske- Messages : 38
Date d'inscription : 25/04/2017
Re: Le Papet, Biquette et Rollo
par Le Papet Cruchot Ven 7 Juil - 16:33
Je lâche la corde par la qu'elle je tiens Biquette, j'avance vers la grande grille, pas la moindre existence de vie. Je mets une main après l'autre sur deux des tiges épaisses de ferraille. J'attendre un peu, ma tête, ni même mon béret l'y passe le point ente les deux.
Rollo me rejoins, il battre de sa queue d'être bien content, lui il a du renifler la présence de sa maîtresse que je me dis, de ma tempête entre les murailles de la maisonnée.
L'belle bête, elle être là ? J'en avoir le cœur qui chavire par la sainte soutane.
J'allais faire retentir la clocharde une nouvelle fois, quand dans mon dos d'homme hardi, je suis courageux moi le papet, téméraire un peu moins qu'ils en disent la populace qui me connaître. Moi j'écoute pas leur bavardages, mauvaises langues jalouses, de me voir si bon gaillard pour mon âge, ils sont jaloux.
La voix.
Je me retourne aussi vite que l'animal de ma tempête et m'écrie sans le savoir de qui causace de suite.
Rollo ATTAQUE !
Il bouge pas d'un poil le loup blanc de ma tempête, même pas un croc en sourire. Et c'est là que je reconnais la tête de poiscaille. J'en reviendre pas, il fait quoi le tordu ici, dans ma binette de tête il me viendre le souvenir du vautour jadis dans la belle Bretagne, ma terre. Je le regarde, il me regarde comme s’il s’apprêtait à me courser comme un sanglier. Il était la toute fois penaud comme s’il était le maître à bord de la maisonnée, lui balance avec grossièreté une timbale de mots pour faire son vaillant devant l’assistance de ma Biquette et de Rollo.
Dis donc la, d'où tu me causions comme ça ? Tu te souviendrez pas qui j'suis, le Papet Cruchot, ami fidèle de ma tempête, alors il va pas faire le maraud toi ou je m'en va le lui dire.
J’allais faire descendre Aristote des cieux est en culotte courte a en jugé par son regard en vers moi, mais je me dissace, que le poiscaille pourrait me tordre le col, oui, je me souviendrasse bien a quel point le merdaille était bien mauvais. Je me prête a redevenir radoucit, ma tête bien haute, je constate lui arriver a hauteur de son nombril. Avec calme, malgré mes belles guibolles sans poils qui tremblasses dans mes braies, je retire mon béret, mon crâne reluisant en avant, je me penche en croisant une jambe devant l'autre, je plillasse un peu mes genoux.
Toi l'bon, l'major des maîtres de la maisonnée...ti voudrasse l'bien me faire l'entrée, la Dame Samsara m'attendre l'vois tu, je lui ramenasse sa bête a poils. Et bien pleins l'autre choses qu'elle me demandasse ma tempête.
Je regarde Rollo, la carriole et biquette. Et je retourne mes œilletons sur le poiscaille. Avec mon sourire éternel, montrant mes quenottes.
Rollo me rejoins, il battre de sa queue d'être bien content, lui il a du renifler la présence de sa maîtresse que je me dis, de ma tempête entre les murailles de la maisonnée.
L'belle bête, elle être là ? J'en avoir le cœur qui chavire par la sainte soutane.
J'allais faire retentir la clocharde une nouvelle fois, quand dans mon dos d'homme hardi, je suis courageux moi le papet, téméraire un peu moins qu'ils en disent la populace qui me connaître. Moi j'écoute pas leur bavardages, mauvaises langues jalouses, de me voir si bon gaillard pour mon âge, ils sont jaloux.
La voix.
- BOUHH!!!!
Je me retourne aussi vite que l'animal de ma tempête et m'écrie sans le savoir de qui causace de suite.
Rollo ATTAQUE !
Il bouge pas d'un poil le loup blanc de ma tempête, même pas un croc en sourire. Et c'est là que je reconnais la tête de poiscaille. J'en reviendre pas, il fait quoi le tordu ici, dans ma binette de tête il me viendre le souvenir du vautour jadis dans la belle Bretagne, ma terre. Je le regarde, il me regarde comme s’il s’apprêtait à me courser comme un sanglier. Il était la toute fois penaud comme s’il était le maître à bord de la maisonnée, lui balance avec grossièreté une timbale de mots pour faire son vaillant devant l’assistance de ma Biquette et de Rollo.
Dis donc la, d'où tu me causions comme ça ? Tu te souviendrez pas qui j'suis, le Papet Cruchot, ami fidèle de ma tempête, alors il va pas faire le maraud toi ou je m'en va le lui dire.
J’allais faire descendre Aristote des cieux est en culotte courte a en jugé par son regard en vers moi, mais je me dissace, que le poiscaille pourrait me tordre le col, oui, je me souviendrasse bien a quel point le merdaille était bien mauvais. Je me prête a redevenir radoucit, ma tête bien haute, je constate lui arriver a hauteur de son nombril. Avec calme, malgré mes belles guibolles sans poils qui tremblasses dans mes braies, je retire mon béret, mon crâne reluisant en avant, je me penche en croisant une jambe devant l'autre, je plillasse un peu mes genoux.
Toi l'bon, l'major des maîtres de la maisonnée...ti voudrasse l'bien me faire l'entrée, la Dame Samsara m'attendre l'vois tu, je lui ramenasse sa bête a poils. Et bien pleins l'autre choses qu'elle me demandasse ma tempête.
Je regarde Rollo, la carriole et biquette. Et je retourne mes œilletons sur le poiscaille. Avec mon sourire éternel, montrant mes quenottes.
Le Papet Cruchot- Messages : 12
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Re: Le Papet, Biquette et Rollo
par Den Norske Jeu 13 Juil - 10:01
Plus il le regardait, plus il en avait envie. Le vieux, oh oui qu'il s'en souvenait, et à vrai dire, il n'en gardait pas un souvenirs louable. Quoi qu'il en soit, il fallait lui donner une petite leçon. Un sourire, et il s'avance doucement puis balançant sa tête d'un côté comme de l'autre, et sourit, genre sourire, sadique et malsain.
- Moi faire le maraud? Et en plus tu vas lui dire, à croire que je devrais avoir peur peut être?
N'écoutant plus ce qu'il dit, , il le soulève facilement on doit dire et l'accroche sur la grille par sans qu'il puisse y mettre les pieds à terre. Ainsi u=installé il recule, pour voir son oeuvre.
- Tu pourras rentrer quand on viendra te décrocher de la. La prochaine fois que j'entend la moindre mauvaise chose en pensée ou en parole. Je te ferais la misère. Est ce bien compris?
Rit doucement et rentre dans le domaine.
- Je pense que tu as le temps d'y réfléchir de la haut.
Et l'ombre s'en va, il ne se verra pas emmerdé par un moins que rien dediou
- Moi faire le maraud? Et en plus tu vas lui dire, à croire que je devrais avoir peur peut être?
N'écoutant plus ce qu'il dit, , il le soulève facilement on doit dire et l'accroche sur la grille par sans qu'il puisse y mettre les pieds à terre. Ainsi u=installé il recule, pour voir son oeuvre.
- Tu pourras rentrer quand on viendra te décrocher de la. La prochaine fois que j'entend la moindre mauvaise chose en pensée ou en parole. Je te ferais la misère. Est ce bien compris?
Rit doucement et rentre dans le domaine.
- Je pense que tu as le temps d'y réfléchir de la haut.
Et l'ombre s'en va, il ne se verra pas emmerdé par un moins que rien dediou
Den Norske- Messages : 38
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Re: Le Papet, Biquette et Rollo
par Samsara Lyce Jeu 13 Juil - 11:37
Jupons légèrement soulevés, Sam s'empresse de suivre Rollo, curieusement tournant la tête vers la gauche aperçoit Norske qui lui se dirigeait vers la monture de Noisette toujours attachée à l'arbre.
La jeune femme n'en tiens pas d'avantage compte, mais au moment ou elle reviens la tête droite devant...percute de plein fouet la carrure de Mariette, arrêt imminent pour la Lyce, au même temps c'était un roc cette femme là !
Mariette ???!!! Mais vous faîtes...Poussez vous bordel !
Puis...ses yeux se baissent un peu et découvre un jeune garçon, environ entre 10 a 12 ans, blond, bien apprêté, mais pas le temps pour Sam de toute façon de s'attarder sur les détails, ni en bavardage. Elle ne prends même pas le temps de demander quoi que ce soit a Mariette, de qui il s'agit ni pourquoi elle se traînait un gosse derrière son fessier.
Il faut savoir que le Papet Cruchot comptait beaucoup pour elle, jadis, il y avait fort, fort longtemps en Bretagne il l'avait sauvée d'une mort certaine, oui il lui avait sauvé la vie, et cette dernière lui était redevable, Samsara n'oubliait jamais ses dettes, aussi infimes soient-elles. Certes avec le temps le Papet avait prit place dans sa vie, tout comme Mariette, bon beaucoup moins dans celle de Den concernant le Papet.
Alors elle contourne avec une mini bousculade sa bonne, et poursuit sa course après Rollo, qui rejoignait les grandes grilles de la demeure.
Après la cavalcade, soudain, ses pieds stoppe leur course, ses yeux deviennent ronds comme des œufs de dindes. Là, devant son air stupéfait, ahuri même, la Lyce découvre le Papet, suspendu au grillage, comme un pantin, battant des jambes, pieds et gesticulant des bras, remuant dans tout les sens.
Samsara s'approche, relâche ses tissus et le regarde...
Papet ?! PAPET !!! Mais qu'est ce que tu fous la haut ????? Qui t'as foutu là ?!
Incroyable, c'était purement incroyable, qui avait osé faire ça...puis tout à coup elle plisse les yeux furax, et comme on dit la lumière fût ! Tantôt elle avait croisé Norske...
Oh PUTAIN !!!! Putain de putain de merde ! C'est Norske qui t'as fait ça dit ?! NORSKEEEEEEEEE je vais te saigner !!!
Samsara fulminait, alors elle regarde de droite a gauche et vice versa...aperçoit l'un des tonneaux vide qui avait été complice de tant d'autres au désagrément de sa cheville.
Attends ! Je vais te sortir de là !
Elle roule le tonneau, le positionne debout, il était juste pile poil pour que le Papet puisse y déposer ces pieds, avec ses mains Sam assure la barrique.
Vas-y Papet ! Tu as suffisamment d'appui pour te laisser descendre, au pire tire sur ta chemise, il vaut mieux qu'elle se déchire qu'à que tu te brise en deux hein !
Et voilà après de longues minutes de mouvements dans tous les sens du pauvre homme, il reussit finalement a passer du tonneau au sol.
Sam le regarde, son regard est semi colérique, semi heureuse de le revoir.
Soit le bienvenu ! Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper de Norske, je vais lui dire deux mots entre quatre yeux...il va m'entendre bordel !
Pousse d'une main sur l'épaule son ami pour qu'il rentre dans la cour...
Laisse la carriole là, on s'en occupera après, il te faut une nouvelle chemise, et...un petit coup dans le gosier non ?! Rollo viens ! Et merci pour la bête et tout le reste Papet !
Lui sourit...
La jeune femme n'en tiens pas d'avantage compte, mais au moment ou elle reviens la tête droite devant...percute de plein fouet la carrure de Mariette, arrêt imminent pour la Lyce, au même temps c'était un roc cette femme là !
Mariette ???!!! Mais vous faîtes...Poussez vous bordel !
Puis...ses yeux se baissent un peu et découvre un jeune garçon, environ entre 10 a 12 ans, blond, bien apprêté, mais pas le temps pour Sam de toute façon de s'attarder sur les détails, ni en bavardage. Elle ne prends même pas le temps de demander quoi que ce soit a Mariette, de qui il s'agit ni pourquoi elle se traînait un gosse derrière son fessier.
Il faut savoir que le Papet Cruchot comptait beaucoup pour elle, jadis, il y avait fort, fort longtemps en Bretagne il l'avait sauvée d'une mort certaine, oui il lui avait sauvé la vie, et cette dernière lui était redevable, Samsara n'oubliait jamais ses dettes, aussi infimes soient-elles. Certes avec le temps le Papet avait prit place dans sa vie, tout comme Mariette, bon beaucoup moins dans celle de Den concernant le Papet.
Alors elle contourne avec une mini bousculade sa bonne, et poursuit sa course après Rollo, qui rejoignait les grandes grilles de la demeure.
Après la cavalcade, soudain, ses pieds stoppe leur course, ses yeux deviennent ronds comme des œufs de dindes. Là, devant son air stupéfait, ahuri même, la Lyce découvre le Papet, suspendu au grillage, comme un pantin, battant des jambes, pieds et gesticulant des bras, remuant dans tout les sens.
Samsara s'approche, relâche ses tissus et le regarde...
Papet ?! PAPET !!! Mais qu'est ce que tu fous la haut ????? Qui t'as foutu là ?!
Incroyable, c'était purement incroyable, qui avait osé faire ça...puis tout à coup elle plisse les yeux furax, et comme on dit la lumière fût ! Tantôt elle avait croisé Norske...
Oh PUTAIN !!!! Putain de putain de merde ! C'est Norske qui t'as fait ça dit ?! NORSKEEEEEEEEE je vais te saigner !!!
Samsara fulminait, alors elle regarde de droite a gauche et vice versa...aperçoit l'un des tonneaux vide qui avait été complice de tant d'autres au désagrément de sa cheville.
Attends ! Je vais te sortir de là !
Elle roule le tonneau, le positionne debout, il était juste pile poil pour que le Papet puisse y déposer ces pieds, avec ses mains Sam assure la barrique.
Vas-y Papet ! Tu as suffisamment d'appui pour te laisser descendre, au pire tire sur ta chemise, il vaut mieux qu'elle se déchire qu'à que tu te brise en deux hein !
Et voilà après de longues minutes de mouvements dans tous les sens du pauvre homme, il reussit finalement a passer du tonneau au sol.
Sam le regarde, son regard est semi colérique, semi heureuse de le revoir.
Soit le bienvenu ! Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper de Norske, je vais lui dire deux mots entre quatre yeux...il va m'entendre bordel !
Pousse d'une main sur l'épaule son ami pour qu'il rentre dans la cour...
Laisse la carriole là, on s'en occupera après, il te faut une nouvelle chemise, et...un petit coup dans le gosier non ?! Rollo viens ! Et merci pour la bête et tout le reste Papet !
Lui sourit...
Samsara Lyce- Messages : 154
Date d'inscription : 25/04/2017
Localisation : Cherchez moi...
Re: Le Papet, Biquette et Rollo
par Le Papet Cruchot Jeu 13 Juil - 11:42
Au moment ou je vois ma tempête arriver devant moi, je crois a une apparition divine, je suis peut-être mort, tué par la tête de poiscaille.
L'apparition n'en était pas une, parce que ma damiselle se met a hurler, je la reconnais bien là. C'est bien elle, en chair et en os, belle comme dans mon dernier souvenir, avec cette colère qui lui va si bien, surtout quand elle prend ma défense.
Moi le Papet je lui obéit, je me tortille, je fais de mon mieux pour me dépoitraille, je me dépétraille de la ferraille qui me retiens prisonnier. Une fois que mes petits petons touche le sol je m'empresse de prendre la main de ma sauveuse, je lui dépose un baiser de gentilhomme bien galant.
Ma tempête, comme je me sentir le bien heureux de vous l'voir enfin. Ne vous énervez l'point ma tempête, le poiscaille il est de la fustrade de ma venue pour le sur. Il est le bien jaloux de moi le Cruchot.
Alors je lui sourit, béat, mais heureux, j'aurais du cueillir quelques fleurs sauvages pour elle, mais je le ferais, je suis le Papet, je sais y faire en galanterie.
Je la suivre tout en l'écoutant, elle sait bien parlementer, je me sens déjà chez moi a son invitation.
J'ai le cœur qui frétille près d'elle, ma tempête, ma divine damiselle que je porte le bien fortement dans mon petiot de cœur.
L'apparition n'en était pas une, parce que ma damiselle se met a hurler, je la reconnais bien là. C'est bien elle, en chair et en os, belle comme dans mon dernier souvenir, avec cette colère qui lui va si bien, surtout quand elle prend ma défense.
Moi le Papet je lui obéit, je me tortille, je fais de mon mieux pour me dépoitraille, je me dépétraille de la ferraille qui me retiens prisonnier. Une fois que mes petits petons touche le sol je m'empresse de prendre la main de ma sauveuse, je lui dépose un baiser de gentilhomme bien galant.
Ma tempête, comme je me sentir le bien heureux de vous l'voir enfin. Ne vous énervez l'point ma tempête, le poiscaille il est de la fustrade de ma venue pour le sur. Il est le bien jaloux de moi le Cruchot.
Alors je lui sourit, béat, mais heureux, j'aurais du cueillir quelques fleurs sauvages pour elle, mais je le ferais, je suis le Papet, je sais y faire en galanterie.
Je la suivre tout en l'écoutant, elle sait bien parlementer, je me sens déjà chez moi a son invitation.
J'ai le cœur qui frétille près d'elle, ma tempête, ma divine damiselle que je porte le bien fortement dans mon petiot de cœur.
Le Papet Cruchot- Messages : 12
Date d'inscription : 11/01/2018
Localisation : Au près de sa Biquette
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